A l’origine architecte d’intérieur et designer, Richard Orlinski se lance dans l’art contemporain en 2002, suivant ainsi une passion qu’il nourrissait depuis ses 18 ans. Ses premières œuvres voient le jour en 2004 après deux années de travail et le succès est immédiat : il est exposé dans les galeries du monde entier.
Le Wild Kong est l’œuvre la plus iconique de Richard Orlinski. Il a été décliné et exposé dans de nombreux pays. Sharon Stone et Pharrell Williams font partie des premières personnalités à lui avoir fait confiance et ont contribué à la renommée de ses sculptures. Toutes ses œuvres sont exposées dans sa galerie parisienne et dans 80 galeries à travers le monde.
KiwiBox est née en 2014 grâce à l’entrepreneur français Guillaume Guttin qui a souhaité créer des solutions de charge pour smartphones innovantes et universelles. La marque équipe aujourd’hui des salles de réunion de clients prestigieux comme Havas, Euronews, Deloitte ou des chambres d’hôtels de luxe tels que Hayatt, Mariott, Four Seasons dans plus de 20 pays. Celle-ci est également distribuée dans plusieurs enseignes de grands magasins en Europe, aux États-Unis et au Moyen-Orient.
Son fondateur a su convaincre d’autres entrepreneurs emblématiques tels que Xavier Niel (Free) et Jacques-Antoine Granjon (Vente Privée) d’investir dans l’entreprise afin de développer l’offre auprès du grand public. KiwiBox présente une dizaine de modèles en vente par des distributeurs agréés, sur Amazon et via son site e-commerce.
Source : Wikipédia
Parcours Artistique
Richard Orlinski grandit à Paris. Enfant il montre un intérêt pour l’art. Après des études à Neuilly-sur-Seine, il obtient un bac économie, puis un Deug à l’université Paris-1 et intègre l’Institut de management international de Paris. Étudiant, il se tourne vers l’art. Après différent métiers et une pratique de l’art en amateur, il décide de se consacrer pleinement à l’art au début des années 2000. Il quitte ses fonctions professionnelles et travaille deux ans avant de présenter au public en 2004 sa première sculpture.
Les galeries commencent alors à s’intéresser à son travail. Il expose à Aspen aux États-Unis ou Val-d’Isère et Courchevel. Il est exposé à la Fiac de Paris en 2006. Il vend pour des collectionneurs privés comme Sharon Stone et Pharrell Williams, qui comptent parmi ses premiers clients. En 2014, il a vendu une œuvre pour 15 millions d’euros. Il réalise également des collaborations avec le chocolatier Jean-Paul Hévin, le chef Frédéric Anton, la cristallerie Daum, l’orfèvrerie Christofle et le parc Disneyland Paris. Une de ses œuvres figure au siège de Twitter France. En 2016, ses œuvres sont présentées dans 90 galeries dans le monde.
Selon Le Quotidien de l’Art, Richard Orlinski est « peu connu de la presse spécialisée art », en revanche il apparaît « souvent dans les magazines généralistes, notamment de décoration ». En effet, bien que l’artiste rencontre un succès commercial, il est peu présent dans les foires, expositions et collections des musées les plus influents. Dans une entrevue avec L’Express, l’artiste explique que « quand ce petit monde entend prononcer mon nom, il lève les yeux au ciel […] La seule fois où j’ai pu exposer à la Fiac, c’était au travers d’une association caritative. […] Et, au bout de deux jours, le commissaire de l’exposition m’a prié de faire mes bagages » Richard Orlinski sait être « ostracisé par un milieu de l’art hostile à ce “sculpteur des stars” », et il se considère « heureux d’être à la fois populaire et prisé »
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