Jean Bernard Wallis, est né en 1938.

Parfois, sa verve se fait à ce point critique, qu’un journaliste d’art a parlé d’un moderne DAUMIER dans ces peintures sur la magistrature, le monde bancaire, les huissiers, voire certains hommes connus de l’époque. Bien entendu, le monde des antiquaires, des restaurants, des nights clubs, des rues animés de Paris sont souvent décrits avec un zeste de satirisme hédoniste.
A ce jour, plus de mille tableaux figurent dans le monde entier dans des collections particulières. L’intérêt renouvelé par de nombreux amateurs et collectionneurs,
lui procure une belle cote.

Né en France en 1938, Jean Wallis exprime de prime abord dans sa peinture la gaieté et l’innocence des lieux de fête et de rassemblement.

Une lecture plus attentive de ses toiles enjouées et colorées nous conduit à voir le second degré et le recul que le peintre donne à ses créations.

Du pilote de Formule 1 farfelu au fourmillement de voitures sur les Champs-Elysées, l’artiste nous donne à voir notre société d’un regard plus acerbe et plus incisif que de coutume.

Ses toiles tournent en dérision ce qui habite notre quotidien, nous mettant face à nos propres contradictions. Jean Wallis nous emmène avec lui dans son univers, un voyage artistique qui démarre d’une peinture à priori naïve et vive, et qui nous conduit finalement par ricochet à une analyse caustique et sans concession de notre monde.

A ce jour, plus de 3 500 toiles ont été réalisées et vendues, pour la plupart dans des collections particulières, tout autour du monde.

Cet engouement montre l’intérêt que portent les amateurs d’art à cette peinture espiègle et stylée, moderne et décalée, dont la côte ne cesse de progresser (titré Akoun – Benezit – Meyer).

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