Honneurs
1969 – Diplôme En Art Lapidaire – pierres-semi – précieuses FES
1983 – Membre – président As, des Arts Plastiques – SAFI
1985 – Travaux sur Fresques Murales a SAFI – BEN GUERIR
1986 – Médaille d’Or « peinture a l’huile Figurative » – Rome, Italie
1986 – Membre de l’As. A.N.AP – CASABLANCA
1987 – Membre de l’As. « AL BAHT » – MEKNES
1989 – Travaux sur « Fresques » « Murale en Vaillance 10m2 » – SAFI
1989 – Médaille de Bronze « peinture a l’huile Figurative » – France
1986- Conception de 15 maquettes de TIMBRE POSTE
1986- Conception de 15 maquettes de TIMBRE POSTE
1990- 1994 – Conception de 15 maquettes de TIMBRE POSTE
1990 – Membre de l’As. AMPAP – CASABLANCA
1995 – 1er Prix du Festival Int. De l’Art Contemporain sur la Musique – France
1996 – Réalisation fresque sur porte « Stade la victoire -BARI – ITALIE »
1998 – 1er concours Internationale de la création artistique Marseille – FRANCE .
1999 – Grand Prix Inter D’arts et lettres « Festival de la Mer corry le Rouet FRANCE ».
1999 – Prix du salon 1999.
1999 – Prix du salon public 1999.
2000 – 2eme Concours Inter. De la création Artistique Marseille – FRANCE.
EXPOSITIONS INTERNATIONALES
1986 – Exposition Internationale des Arts Plastiques – Rome, Italie
1989 – Exposition Internationale des Arts Plastiques – Paris, France
1990 – Semaine Nationale de Culturelle – Bruxelles, Belgique
1990 – Exposition Maghrebine des P.T.T. – TUNISIE
1994 – Exposition sous le patronage de S.A. la Princesse Lalla Fatima Zohra, et Galerie FLANDARIA de Tanger – Marbella, Espagne
1995 – 5eme Salon Int. Art Contemporain sur la Musique – ANGER, France
1997 – Exposition Collective le Caire – EGYPTE
1999 – Galerie « INNUENDO » MARSEILLE – France
2005 – 3éme session festival international des arts plastiques Monastir – Tunisie
EXPOSITIONS INDIVIDUELLES
1987 – Hôtel de FES. FES
1988 – Complexe culturel Anfa CASA
1990 – Carrefour des livres CASA
1991 – Musée des Oudayas RABAT
1992 – Hôtel SAFIR RABAT
1993 – Galerie LE MANOIR RABAT
1994 – FLANDRIA ART GALLERY TANGER
1994 – Hôtel Hayat Regency RABAT
1995 – Centre Commercial « GALAXIE » RABAT
1996 – Galerie Artisanat Oulja SALE
1997 – Chorfy ART GALLERY CASA
1998 – Cyberspace Gallery CASA
1998 – Galerie « Mohamed EL FASSI » RABAT
2000 – Galerie « Tamuziqua » ASWAK ASSALAM – RABAT
2001 – Exposition permanente « C.A.M » Oulja SALE RABAT
2009- Galerie 2 Mars CASABLANCA
2012-– Galerie « Mohamed EL FASSI » RABAT
2015 – Galerie «BAB EL KEBIR» RABAT
Le rêve et la réalité vont de pair
Mais, tout hyperréaliste qu’il est, Rhorbal revisite des temps perdus de son enfance et les grands repères identitaires, voire même fantastiques de son imagerie populaire. A travers une démarche ésotérique personnalisée, Rhorbal met en relief tout un registre magique de symboles et d’objets (la porte, la clé, les marches, l’échelle, la jarre, l’escalier, le désert, le zellige, le ksar, le seuil, l’œuf…).
Fidèle à l’esprit fédérateur du surréalisme, son langage pictural se présente comme une tendance onirique et pure. Une tendance qui véhicule, s’appuyant sur les effets d’automatisme psychique, la logique intuitive de la pensée en l’absence de tout contrôle exercé par la raison et en dehors de toute préoccupation morale.
Les toiles de Rhobal nous mettent en présence d’une œuvre insolite qui provoque le choc visuel, valorisant notre capital patrimonial avec ses valeurs esthétiques basées sur la représentation du surréel selon une interprétation symbolique de notre « moi collectif » à la limite de la consécration.
Depuis le début de l’exposition de cet artiste les visiteurs ont été, et sont encore, fascinée par ce réalisme… irréel ! Beaucoup de poésie et de nostalgie aussi… il ne laisse personne indifférent. Je suis fan de l’œuvre de ce peintre depuis quelques années et c’est pour moi un grand plaisir et un honneur de l’accueillir à la villa Houda. Il y exposera désormais de façon permanente pour le plus grand bonheur des amateurs d’art.
ABDELLAH CHEIKH
Source : L’express
Rien ne semblait prédisposer Abdelkader Rhorbal, qui poursuivait une paisible carrière de postier, à devenir l’un des artistes marocains les plus singuliers et les plus attachants apparus dans les années 80. A l’entendre raconter comment un beau jour – ou plutôt un triste soir, la solitude et l’ennui l’amenèrent à peindre « pour tuer le temps », on se dit qu’il aurait pu passer à côté de sa véritable vocation.
Source : Maghress
Un surréalisme propre à Rhorbal. Car imprégné tantôt de son romantisme, tantôt de son empreinte soufie. Cette dernière est omniprésente dans ses créations, allant même jusqu’à la traduction de certains versets coraniques en compositions plastiques.
Mais ses thématiques restent aussi multiples que ses périodes plastiques, dont celle du réalisme-surréalisme obscur, entre les années 80-90, qui s’est poursuivie par une autre de surréalisme purement marocain, à travers lequel Rhorbal a séduit avec ses casbahs et paysages de toutes les régions.
À partir de 2000, le peintre intègre un univers plus gai en introduisant des fleurs et d’autres végétations dans ses compositions surréalistes. Une innovation qui n’a pas manqué de le placer parmi les peintres les plus féconds. Ses travaux dévoilent le vaste esprit imaginaire de ce peintre autodidacte qui crée, à chaque fois, des scènes incroyables, invitant à dépasser le réel où nous vivons.
«En fait, je me sens beaucoup plus romantique que surréaliste. Je m’inspire de notre patrimoine national, de notre histoire, mais aussi des contes que ma mère me racontait», nous dira-t-il. «Transparence», «Toujours devant moi», «Un nouveau jour», «Sur le rocher», «Symphonie de l’Andalousie» sont autant de toiles exposées où l’artiste Rhorbal s’est ingénié à nous offrir un spectacle avec tout ce que ce mot peut englober comme incitation à la lumière, couleurs, formes, volumes et profondeurs.
Des compositions délicates aussi, où le regard peut naviguer comme il veut et selon ses fantaisies. Cette rétrospective permet, aussi, de constater l’évolution du travail de ce peintre dont les sujets se sont diversifiés avec la présence quasi permanente de la clé, selon lui, symbole d’ouverture de toutes les portes de la vie. Selon le critique Abdellah Cheikh, Abdelkader Rhorbal chante l’imagination créatrice de la mémoire populaire suivant une recherche chromatique maniériste jouant sur l’illusion et le trompe-l’œil.
Ce monde à la fois onirique et mystique dévoile une beauté incroyable qui mène vers le rêve et la méditation.
En dehors de ses sujets de prédilection, la peinture de Rhorbal a également été présente dans le social et d’autres grandes causes, à travers des travaux exprimant la souffrance de l’être humain, comme son tableau sur Gaza, en signe de solidarité avec le peuple palestinien.
Le fantastique, le symbolique, le merveilleux et le mythique sont autant d’éléments que nous livre Rhorbal dans une belle harmonie d’œuvres qui laissent errer le regard dans un monde à part.
Natif de Fès, Abdelkader Rhorbal développe très jeune un grand talent où cohabitent maîtrise technique et originalité thématique. Sa peinture dénote d’une vision onirique du monde, donnant à voir des paysages auréolés de poésie surréaliste, mais toujours inspirés de la réalité marocaine.
Ses qualités de peintre novateur lui ont valu plusieurs distinctions nationales et internationales, dont la médaille d’or de la «Peinture d’huile figurative» (Italie), une médaille de bronze pour le même thème (France), le 1er Prix du Festival international de l’art contemporain sur la musique (France), le grand Prix international d’arts et lettres au «Festival de la mer» de Carry-le-Rouet (France) et bien d’autres consécrations aussi prestigieuses.
Laisser un commentaire :
Vous devez être connecté pour publier un commentaire. (Se connecter)