PRINCIPALES EXPOSITIONS PERSONNELLES :
2007 : « Estampes, Création plurielles », Institut français, Rabat
2006 : Galerie Venise Cadre, Casablanca
2005 : Galerie Bab Rouah, Rabat
1996 : Roshan Fine Arts Gallery, Djeddah, Arabie Saoudite ; Biennale du Caire
1995 : Retrospective à L’I.M.A. Paris ; The World Bank, Washington D.C.
1986 : Duke University Gallery, Durham, North Carolina
1984-85 : The Bronx Museum of the Arts, New-York
1982 : Galerie Alkasabah, Asilah ; Galerie Nadar, Casablanca
1975 : Galerie Nadar, Casablanca
1971 : Sultan Gallery, Koweit ; Galerie de L’atelier, Rabat
1968 : Pecanins Gallery, Mexico City
1965 : Galerie Bab Rouah, Rabat ; Galerie municipale, Casablanca
1963 : The little Gallery, Minneapolis Institute of Arts, Minneapolis
1962 : Galeria Trastavere di Topazia Alliata, Rome
PRINCIPALES EXPOSITIONS COLLECTIVES :
1995 : Rétrospective à l’Institut du Monde Arabe, Paris
1989 : « Peintres marocains à Madrid », galerie Conde Duque, Madrid
1988 : « Présences artistiques du Maroc », Bruxelles, Ostende et Liège
19e Biennale de Sao Paulo
1985 : « Melehi, Recent paintings », the Bronx Museum of the Arts, New York
1980 : National Museum of Modern Art, Bagdad
Alcuni Artisti Arabi, Galerria II Canovaccio, Rome
1976 : « Arts Plastiques », Galerie Bab Rouah, Rabat
1975 : Galerie Cotta, Tanger
1969 : Young Artists from around the world, Union Carbide Building, New-York
1966 : Hall du Théâtre Mohammed V, Rabat ; Festival d’Art Nègre, Dakar
1963 : Musée d’Art Moderne, New York ; Bertha Schaefer Gallery, New York
Source : http://www.babelfan.ma/tous-les-artistes/details/36/356/abdelkader-melehi.html
Né en 1966 à Asilah, Abdelkader Melehi entre à l’Ecole des Beaux-arts de Tétouan (1986-1988),
puis s’inscrit à l’Ecole nationale des Beaux-arts d’Angoulême en France (1988-1991). Il commence à exposer à partir de 1987. Il vit et travaille à Asilah.
Les premiers travaux de A. Melehi traduisent d’abord le désir et la volonté de rester dans la peinture proprement dite, dans l’espace de son originalité et de son langage, échappant par là à l’attrait irrépressible de sa génération pour le conceptuel, l’installation ou de toute autre démarche signifiant la fin de la peinture. Abdelkader Melehi peint, anime la surface de la toile, lui imprime à la faveur d’une certaine monochromie et signes intégrés un relief, des vibrations, des pulsations.
Dans un deuxième temps A. Melehi aborde une nouvelle expérience qui constitue un geste d’audace,
car taillées dans le même tissu ou mieux à partir de matériaux peints, il livre de véritables sculptures. Sa démarche relève d’un hommage à la vie et à sa puissance de renouvellement perpétuel, dans la curieuse et authentique perception de la matière rendue tel l’effet de peau, relief et consistance.
Sa technique est en effet un mélange de colle acrylique, colle animale (peau de lapin), de henné et de pigment sur support toile ou papier ou les deux ensemble. Ses toiles peuvent être parcourues par des lignes innombrables ou représenter des formes brisées (thème des jambes, l’une tendue, l’autre repliée ou deux personnages marchant mais vus des jambes.
Laisser un commentaire :
Vous devez être connecté pour publier un commentaire. (Se connecter)