Giordani Italo

Italo Giordani (1882-1956)

Peintre inconnu presque’ en Italie, bien connu en France et très apprécié par la critique de l’art français et’ un artiste qu’il mérite, même si à distance de beaucoup d’ans de sa mort mystérieuse, notre meilleure attention sur les siens splendides peintures.Né au Leonforte (EN) en 1882 je laisse’ bien bientôt sa Sicile pour se déplacer premier à Venise où entrer’ en contact avec le milieu artistique vénitien.

Ils témoignent son permenenza à Venise les nombreuses peintures qu’ils cadrent, avec le regard typique des impressionnistes, canaletti et vues de la ville’ lagunaire. Il semble, mais nous n’en sommes pas, que j’aie produit ici son oeuvre avec la signature O. Zordan storpiativo de la Vénétie de son nom de famille original, on ne sait pas pour lequel je motive.

De Venise ses traccie nous portent à Milan où de 1908 à 1909 tu suis le cours d’École Spéciale de Peinture près de l’académie de Brera tenue du grand maître Cesare Talon et en compagnie d’autres peintres comme Virgile Cordes et probablement aussi Carlo Carra.’

Au Brera je perfectionne’ la technique des portraits qui le porte’ à devenir un portraitiste excellent aussi, comme il lui a reconnu la critique française de l’époque, puis en peignant l’autoportrait, le portrait à Lion Tolstoï, le portrait de mendiant, probabiilmente Van Gogh.

De Milan il déplacent’ à Marseille où pendant quelque temps il vécut, en laissant quelques tableaux avec des vues de la promenade au témoignage de son séjour dans la ville’ provençale. D’ici Paris il atteignit où sûrement frquento’ Modigliani et beaucoup d’autres artistes du boemienne parisien de Montmartre et Montparnasse.
Son oeuvre « portrait de mendiant », où l’effigie semble celle de Van Gogh, il nous porte à croire qu’il ait bien cocosciuto le grand artiste hollandais, probablement au Provence ou à Paris.

Elles furent organisées dans son honneur deux importabti personnels près de galeries parisiennes connues. La premier en 1917 près du Galerie Beernheim-Jeune & C. en Boulevard de le Madelene et près du Galerie Terrisse au 94 du Boulevard Haussmann. De la date de cette dernière galerie ils se pardonnent ses traces et l’endroit et la date de ses mortes sont à nous même méconnu.

Ils restent dans le monde entier maintenant de toute façon à sa mémoire bien plusieurs’ de 150 oeuvres éparpillées, comme il résulte des adjudications fréquentes en maisons de hampe de Paris, à Londres, au Buoenos Aires, et que nous restons, à la fatigue, en tâchant de cataloguer.

Source : http://www.ebay.it/itm/VENEZIA-vista-da-IMPRESSIONISTA-Italo-Giordani-1882-/140175098380

Italo Giordani, pittore pressoche’ sconosciuto in Italia, ben conosciuto in Francia e molto apprezzato dalla critica dell’arte francese, e’ un artista che merita, anche se a distanza di molti anni dalla sua misteriosa morte, la nostra massima attenzione sui suoi splendidi dipinti.
Nato a Leonforte (EN) nel 1882 lascio’ ben presto la sua Sicilia per spostarsi prima a Venezia dove entro’ in contatto con l’ambiente artistico veneziano.

Testimoniano la sua permenenza a Venezia i numerosi dipinti che inquadrano, con il tipico sguardo degli impressionisti, canaletti e scorci della citta’ lagunare.
Sembra, ma non ne siamo certi, che qui abbia prodotto qualche sua opera con la firma O. Zordan storpiativo veneto del suo cognome originale, non si sa per quale motivo.

Da Venezia le sue traccie ci portano a Milano dove dal 1908 al 1909 segui il corso di Scuola Speciale di Pittura presso l’accademia di Brera tenuto dal grande maestro Cesare Tallone e in compagnia di altri pittori come Virgilio Funi e probabilmente anche Carlo Carra’.

A Brera perfeziono’ la tecnica dei ritratti che lo porto’ a diventare anche un ottimo ritrattista, come gli ha riconosciuto la critica francese dell’epoca, dipingendo poi l’autoritratto, il ritratto a Leone Tolstoj, il ritratto di mendicante (probabiilmente Van Gogh).

Da Milano si sposto’ a Marsiglia dove visse per qualche tempo, lasciando alcuni quadri con scorci del lungomare a testimonianza della sua permanenza nella citta’ provenzale. Da qui raggiunse Parigi dove sicuramente frquento’ Modigliani e molti altri artisti della boemienne parigina di Montmartre e Montparnasse.
La sua opera « ritratto di mendicante », dove l’effige sembra quella di Van Gogh, ci porta a credere che abbia ben cocosciuto il grande artista olandese, presumibilmente in Provenza o a Parigi.

Furono organizzate in suo onore due importabti personali presso note gallerie parigine. La prima nel 1917 presso la Galerie Beernheim-Jeune & C. in Boulevard de la Madelene e presso la Galerie Terrisse al 94 del Boulevard Haussmann. Dalla data di quest’ultima galleria si perdono le sue tracce e perfino il luogo e la data della sue morte sono a noi sconosciuti.

Rimangono comunque a sua memoria ben piu’ di 150 opere ormai sparse in tutto il mondo, come risulta dalle frequenti aggiudicazioni in case d’asta da Parigi, a Londra, a Buoenos Aires, e che stiamo, a fatica, cercando di catalogare .

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